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[Devcom] Hieronymus, ton univers impitoyable

On a pu découvrir Hieronymus, un jeu qui vous fait littéralement rentrer dans les peintures tourmentées et oniriques de Jeronymus Bosch, un maître de la peinture hollandaise mondialement connu de la fin du moyen âge et du début de la renaissance. Le titre est une sorte de aventure à la première personne. Vous incarnez une jeune fille qui essaye de comprendre la disparition de ses parents et les liens de sa famille avec l’univers du grand maître hollandais. On se retrouve régulièrement littéralement DANS les tableaux de Jérôme Bosch. Son univers y est particulièrement bien détaillé et c’est évidemment sur ce thème que le jeu marque des points. Un simple FPS aurait été un peu limité. Il n’est pas simplement question de tir, mais surtout de compréhension de l’univers qui vous entoure. Ici la frêle jeune fille que vous incarnez tombe au premier coup que vous recevrez. À vous de la faire évoluer dans des zones sécurisées. Et vous aurez besoin de bien réfléchir pour enchaîner exploration, diversion et tire avec les rares munitions que vous aurez récupérées. Durant la démo on a ainsi eu accès à une arquebuse et une arbalète qui lançait des fioles odorantes attirant les ennemis.

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The Legend of Heroes: Trails into Reverie, le test switch

 NIS America proposeThe Legend of Heroes: Trails into Reverie en version anglaise (et japonaise) sur PlayStation 4, PlayStation 5, Windows, et Switch. C’est cette dernière version que nous allons tester. Trails into Reverie est la suite directe on pourrait même dire l’épilogue de The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel. L’ensemble est dans la continuité des deux autres titres The Legend of Heroes: Trails from Zero et Trails to Azure qui sont sortis chez nous après les Cold Steel. Ce dernier opus est presque un regroupement des personnages et scénarii des deux séries. Un scénario pour les regrouper tous ! Si vous lisez ces lignes, vous savez globalement de quoi il retourne. On revient dans la cité de Crossbel qui décidément a bien du mal à garder sa stabilité. Celle-ci est encore une fois envahie par une puissance adverse. Et de nouveau, vous avez à sauver ce petit État. Cette fois, le studio Nihon Falcom ne choisit même plus, mais vous offre de « clôturer » avec presque TOUS les personnages de la série. En effet un peu à la manière d’un YS IX, vous avez plusieurs équipes que vous aurez a faire évoluer chacune de leur côté : Ce choix de

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The Caligula Effect Overdose, le test PS5

The Caligula Effect: Overdose est une version améliorée d’un RPG sur PS Vita du nom de The Caligula Effect, sorti au Japon en 2016 (2017 en Occident). Le titre a été réalisé par le studio Aquria, connu pour la série de jeux dérivés de Sword Art Online. The Caligula Effect: Overdose, lui, fut développé en complément par FuRyu Historia et sortit en 2018 au Japon sur PS4, Switch et Windows (puis 2018 en Occident) avant que ne nous arrive une version PS5 en 2023. The Caligula Effect: Overdose se présente comme un « Persona like » (dans le style établi depuis le 3). Autrement dit, vous alternerez entre des phases sociales et de l’exploration de donjons avec des monstres surréalistes à éliminer sans remords. Au demeurant, l’équipe étant constituée de plusieurs anciens des équipes Persona et Megami Tensei, l’influence devient alors évidente; par exemple, Tsukada Masuko, le compositeur, avait collaboré à la série Megami Tensei. Vous comprenez dès le début que la ville et le lycée que vous intégrez sont issus d’un monde virtuel. Celui-ci est composé de personnages fictifs et de quelques « psychés » de personnages réels. Ces dernières ont été extraites de notre monde par une IA empathique, pour leur éviter

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Ys IX: Monstrum Nox, le test PS5

Ys IX: Monstrum Nox revient sur PS5. Ce titre est déjà ancien puisqu’il est initialement sorti en 2019 sur PS4 au japon, avant d’arriver plus tardivement en 2021 en Europe. Dans la foulée, on a testé la version Switch, ici même. De fait, on mettait beaucoup d’espoir dans cette nouvelle version PS5, peut être un peu trop… Une aventure épique Pour information, l’ensemble de la trame est expliqué dans le test initial sur Switch. Mais pour la faire courte, Ys IX: Monstrum Nox est un action RPG qui vous fait incarner Adol Christin, le traditionnel héros de la saga Ys, qui se retrouve piégé dans une ville et ses environs. Vous devez enquêter sur plusieurs mystères et machinations, face aux forces d’occupation de la ville tout en combattant des hordes de monstres. Vous êtes progressivement aidé par de nouveaux compagnons (six personnages seront jouables à la fin, en comptant Adol)… La trame est vraiment entraînante, et donne vraiment envie de poursuivre la quête principale (c’est moins vrais pour les quêtes secondaires). C’est d’autant plus prégnant que le scénario est particulièrement mature et nous fait pleinement rentrer dans l’Histoire du monde d’Ys. Celle-ci n’est souvent évoquée dans la série qu’en toile

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[Lecture] L’Histoire officieuse de Street Fighter, racontée par ses créateurs

La série Street Fighter a profondément marqué le jeu vidéo. On peut même dire que sans cette série, puis ses rivaux Fatal Fury et Mortal Kombat, nous n’aurions pas les jeux de baston que nous aimons tant. C’est fort de ce constat, associé d’une vraie passion pour ces titres que le journaliste américain Matt Leone s’intéresse depuis longtemps à ce phénomène. Il a collecté de nombreux interviews auprès des acteurs d’époque, initialement pour le site Polygon. Ces témoignages sont d’ailleurs encore consultables gratuitement (en anglais).Ce faisant, la matière était tellement conséquemment qu’il a décidé, de réaliser une compilation encore plus détaillée dans L’Histoire officieuse de Street Fighter, désormais traduit en français chez Third éditions. Une retranscription innovante La méthode surprend un peu au début, mais on comprend très vite son intérêt: au lieu d’un simple catalogue d’entretiens, l’auteur les a mis en forme pour figurer un grand débat, comme si les intervenants se répondaient entre eux. Chaque chapitre prend comme thème un jeu de la série (notamment les jeux d’arcade Street Fighter, Street Fighter II, Street Fighter II Champion Edition, Super Street Fighter II, etc.). Certains chapitres sont bienvenus comme celui sur Fatal Fury (pour ceux qui ne savaient pas

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Front Mission 1st Remake, le test Switch

Front Mission premier du nom est un tactical RPG qui a profondément marqué l’univers des jeux vidéo. Produit par Square en 1995 sur SNES, le premier épisode reste cependant cantonné au japon, mais se déclinera sur de multiples supports comme la Playstation, puis la Wonderswan et la DS. Un bon jeu c’est d’abord une bonne histoire Petite rareté a l’époque, le scénario non manichéen de Front Mission est plutôt complexe. L’histoire oppose deux entités territoriales de la fin du XXIe siècle qui se déchirent sur une petite île (fictive) du pacifique. D’ailleurs deux scénarios sont disponibles. Dans l’un où vous incarnez les forces de l’Oceania Cooperative Union (O.C.U.) pour une première partie. Dans l’autre, les joueurs plus confirmés peuvent jouer avec l’Unified Continental States (U.C.S.). Le joueur est véritablement confronté au bourbier de la guerre, dans laquelle les unités se (dé)battent comme elles peuvent, pour une finalité qui les dépasse. Le scénario, même s’il prend un peu de temps à se mettre en place, est toujours aussi plaisant. C’est d’autant plus appréciable que le jeu bénéficie d’une traduction intégrale en français, le rendant accessible au plus grand nombre. Des choix graphiques discutables Mais ce Front Mission 1st Limited Edition, est

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GrimGrimoire OnceMore, le test PS5

Vanillaware ressort ses anciens jeux sur consoles de dernière génération. Après Odin Sphere et Dragon Crown, c’est donc au tour de GrimGrimoire, sorti initialement sur PlayStation 2 en 2007. Une version remastérisée est désormais proposée sous le titre de GrimGrimoire OnceMore sur Sony PS4, PS5 et Nintendo Switch. Un jeu de stratégie console entre « Command & Conquer» et « Lemmings » GrimGrimoire OnceMore est une sorte RTS, un jeu de stratégie en (presque) temps réel.Vous incarner en fait une jeune apprentie magicienne qui s’en va étudier à l’école de magie « Silver Star»  qui est dans une tour immense. Évidemment, la tour en question scelle le pouvoir d’un magicien démoniaque qui fait tout pour briser ses chaînes. Les cinq premiers jours servent de tutoriel, mais au bout du cinquième, le magicien est libéré et massacre les occupants de la tour. Notre héroïne est alors transportée quelques jours en arrière, et doit donc l’en empêcher, un peu comme dans le film « un jour sans fin ». Le jeu vous fait retourner 5 fois dans le passé avec 5 objectifs différents à chaque fois. On vous rassure, vous n’avez pas à refaire les mêmes, du coup 25 missions différentes vous sont proposées. En gros, on a

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The Legend of Heroes: Trails to Azure, le test Switch

The Legend of Heroes: Trails to Azure, est la suite directe de The Legend of Heroes: Trails from Zero (testé ici même). Initialement développé sur PSP, il a été amélioré pour une sortie PS Vita, mais c’est seulement avec cette version remastered sur Switch et PS4/PS5 que Trails to Azure arrive enfin chez nous en anglais. Une suite directe The Legend of Heroes: Trails to Azure montre sa filiation dés le prologue qui met un terme à la puissance de la secte de l’opus précédent. Pour le coup, le titre ne se comprend qu’en ayant bouclé The Legend of Heroes: Trails from Zero… C’est notamment vrai au niveau des relations des différents protagonistes. Un peu comme The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel II en son temps.D’ailleurs vous pouvez commencer avec la sauvegarde du titre précédent si vous l’avez fini. Vous conservez votre niveau ainsi que quelques éléments comme les objets de décoration de vos chambres par exemple. Malheureusement, les pendules seront remis à zéro, notamment pour les mini jeux comme les recettes, la pêche, etc. On reprend donc notre aventure ou on retrouve avec plaisirs les complots et manigances évoqués dans l’opus précédent entre l’empire et la république.

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Lecture: L’histoire de la Nintendo 64, l’avis

Souvent (et toujours) décriée mais proposant des titres (souvent propriétaires) fameux, le moins que l’on puisse dire, c’est que la troisième console de salon occidentale de Nintendo n’aura pas laisser indifférent. Et c’est ce support historiquement clivant qu’a choisi d’aborder Patrick Hellio. Nous concédons bien volontiers que la Nintendo 64 est loin d’être évidente à aborder. Malheureusement, ce n’est pas le début de l’ouvrage qui nous contredira… Dans le but de dresser un contexte ultra concurrentiel à partir des années 93/94, l’auteur nous perd assez vite dans une introduction finalement assez longue et pour le moins assez creuse. Un ouvrage documenté et référencé Le principal problème est directement issu de la nature des sources. En dehors des communications souvent millimétrées, la société Nintendo fait partie des grandes muettes des sociétés du jeu vidéo. Patrick Hellio s’en sort pourtant avec les honneurs, en allant cherchant un grand nombre d’interviews ou de posts mortems publiés sur Internet ou dans la presse vidéoludique – Edge, notamment, mais pas que ; la presse française étant bien représentée. Pour le coup, les anciens membres de la société Silicon Graphics ainsi que quelques sociétés occidentales (comme RARE par exemple) sont largement mises à contribution. Elles apportent

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Labyrinth of Galleria : the Moon Society, le test

Labyrinth of Galleria : the Moon Society est un Donjon Crawler, de la société Nippon Ichi. Il s’inscrit comme une suite spirituelle d’un de leur précédents titres, Labyrinth of Refrain : Coven of Dusk (qu’on avait déja particulièrement apprécié comme on vous l’explique dans notre test). Tous les deux ont commencé leurs carrières sur PS Vita, mais qui n’ont jamais été localisés en occident. Heureusement une version Switch (et PS4/5) nous permet de nous y confronter. Labyrinth of Refrain 1.5 Le scénario des deux titres est distinct, mais utilise les mêmes ressorts. Ici, une jeune fille prend un poste de domestique auprès d’un noble qui tente d’explorer, avec l’aide d’une sorcière, les souterrains de son château. Le scénario deviendra de plus en plus sombre, car les protagonistes cachent souvent des intentions bien peu recommandables. Le fonctionnement du gameplay est similaire entre Labyrinth of Refrain et Labyrinth of Galleria. Vous dirigez une équipe de marionnettes à qui vous avez donné vie. Ces dernières peuvent bien sûr incarner des classes particulières, comme l’équivalent de mage, chevalier, archer, jongleur de lanterne (oui) ou encore chat (on sait tous que les chats sont des combattants sournois), Etc.. Vous dirigez ces marionnettes dans les dédales de labyrinthes

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¶Dossier
La Team

TOP 10 des jeux de société/jeux de plateau les plus valorisés (les plus chers)

Jeux de collection contre KS post-campagne, ou « comment j’ai fait fortune avec une vieille boite de Monopoly«  La tendance à « tout collectionner » ? vous connaissez ? cette peur de louper le bon jeu et de ne plus jamais pouvoir le racheter. Mais si, ce Kickstarter fantastique livré dans un demi-container assorti de plateaux « triple layers » et de 5kg de figurines

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[Interview][Gamescom 2023] Entretien exclusif avec Niantic sur Monster Hunter Now

Discussion sur le Stand Monster Hunter de la Gamescom 2023. L’échange est la retranscription la plus fidèle des déclarations de Monsieur Kei Kawai. Je me suis cependant permis de parfois modifier un phrasé oral et d’intégrer une ponctuation. Air-Gaming : Pourriez vous vous présentez et présenter la société Niantic ? Kei Kawai : Je m’appelle Kei Kawai, directeur des produits chez Niantic, Inc.

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